Dans la solitude du soir... {PV Peter}

C’était le soir, il se faisait tard. Le gymnase avait depuis longtemps était déserté. Les sportifs et les pom-pom-girls étaient tous partis… Mais pas elle. Elle, elle savait qu’il n’y avait qu’un appartement vide et froid qui l’attendrait quand elle rentrerait chez elle.

Alors, Claire avait tout fait pour mettre longtemps à se préparer après l’entrainement. Elle avait trainée sous la douche, elle avait pris tout son temps pour se rhabiller et avait séché ses cheveux. Mais cela n’avait pas duré…

Elle s’avança dans la grande sale qui n’était presque plus éclairée. Dans les ombres, elle pouvait discerner la forme des paniers de basket à chaque extrémité de la pièce. Le silence qui régnait en maitre lui donna froid dans le dos, pour le rompre, elle lança un appel, sans grand espoir d’avoir une réponse.

« Il y’a quelqu’un ? Personne n’a envie de jouer au basket à… »

Elle regarda sa montre.

« A vingt deux heures et des poussières ? … Dommage.»

Elle aurait bien aimé qu’il y’a quelqu’un. Pas qu’elle n’est envie de faire une partie de basket, elle s’était assez dépensée pour la soirée mais elle n’avait rien contre le fait de parler un peu. Oui, de parler, sinon, elle n’aurait eu qu’à se rendre dans la boite de nuit la plus proche et elle aurait trouvé de la compagnie en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire.

Poussant un soupir, elle s’installa sur les gradins et regarda le stade où tan de matchs avaient déjà eu lieu… Ou elle avait été une cheerleader exemplaire…

« Y’a vraiment personne ? » tenta-t-elle une nouvelle fois.

Elle déposa son sac à ses pieds.

On ne pouvait dire que la soirée était belle et bien belle pour notre jeune Peter Linderman, après avoir répondu a son professeur de science technologie il eu droit a être de corvée tout les soirs affin d'aider le concierge de l'établissement. Il fut donc obliger après les cours de rentré chez lui se changer et de mangeait un morceau vite fait. Alors que le temps avait prit une avance rapide a son goût Peter se leva de sa chaise pour prendre sa veste classique noir, passant son bras gauche dans une manche suivit du bras droit dans l'autre la veste retomba au genoux du jeune homme. Il enfila ces chaussure particulièrement des basket Puma pour ne pas avoir ma au pied durant les corvée qu'on lui donnerait a faire cette nuit encore, il prit clef et autre objet important avant de se rendre a l'université a l'aide de sa belle voiture une Z4 précisément noir avec des siège en cuire rouge. Quand il fut arrivait le concierge l'attendait et à son plus grand regret il avait l'air de très mauvaise humeur bref le jeune homme eu la chance d'avoir le gymnase comme corvée et surtout le plus compliquer cirée le sol du terrain.
On pouvait l'entendre râler dans les couloirs , quand il arriva prêt du gymnase il n'entra pas directement par la porte principal mais par la petite porte ou se trouvait le matériel et la machine pour cirée le sol, il sortie par la suite par une autre porte qui mener sur le terrain et la voix d'une magnifique jeune fille se laisser raisonné, il la regarda avec un sourire.
Claire Petrelli qui ne connaissait pas cette sublime jeune fille beaucoup de garçon parlait d'elle beaucoup fantasmer sur cette belle jeune fille, il y en avait de quoi une chevelure parfaite, un corps sublime et sourire magnifique que lui ajoutée de plus.

Je pense qu'il ne reste plus grand monde ici.

Il passa l'une de ces mèche derrière son oreille avant de reprendre paroles

Ha moins que tu m'attendais, mais je pense que cela n'ai pas le cas.

Il eu un petit rire avant de commencer a allumer la machine, elle fessait un petit bruit, un bruit pas trop désagréable et heureusement d'ailleurs. Il commença a avancer avant de peter un câble sur la machine qui ne marchait pas, enfin ou peut être qu'il ne la fessait pas marcher correctement tout simplement. Il stoppa le tout et s'avança vers la jeune fille

Je peux m'asseoir prêt de vous j'en ai marre d'être traiter comme un esclave depuis trois jours je fais des corvée énorme et les gens de l'établissement non aucun respect

Il prit donc place prêt de Claire tout de même posant ces mains sur les bancs

Au faite tu ne devrais pas être chez toi depuis un moment ?

Elle crut qu’elle était bien partie pour passer sa soirée seule dans le gymnase à attendre de trouver la motivation de rentrer chez elle mais un bruit se fit entendre. Cela venait d’une petite porte annexe qui n’était pas souvent utilisée. Les gens aimaient bien entrer par la grande porte, ça leur donné une impression de pouvoir complètement fausse mais à défaut d’autre chose, ça flattait leur égo. Elle était mal placée pour les juger, elle ne valait pas beaucoup mieux qu’eux.
Au début, elle ne discerna qu’une silhouette qui se fit plus précise au fur et à mesure qu’il s’approchait d’elle. Un visage connu, c’était déjà bon signe, et pas un adulte, encore mieux, elle n’aurait pas à justifier sa présence ici à une heure aussi tardive.

Il dit qu’il n’y avait pas grand monde ce à quoi elle répliqua :

« Y’a déjà toi, ça pourrait être pire. »

Elle n’avait pas souvent eu l’occasion de parler ave lui. Peter, c’est comme ça qu’il s’appelait si sa mémoire ne lui faisait pas défaut…

« Qu’est-ce qui te dis que je n’étais pas en train de t’attendre ? »

Elle n’attendait personne en particulier… Ou peut-être que si mais elle ne savait pas encore qui c’était…

Elle le regarda faire avec plus ou moins de succès avec la machine. Elle fut bien contente quand il laissa sa machine et vint s’assoir prés d’elle.

« Je t’en pris, fais comme chez toi… Qu’est-ce que t’as fait pour te retrouver à devoir faire ça ? »

Il avait l’air d’un gentil garçon mais ça n’empêchait pas de recevoir des heures de colles. Seuls les sportifs avaient la chance d’y échapper parfois quand le coach plaidait en leur faveur faisant croire que leur absence mettait en péril les chances de victoire de l’équipe. Vive les privilèges injustes.

Vint ensuite le sujet qui face… Mais pourquoi donc elle n’était pas chez elle ?

« Si… Mais j’en avais pas envie. Ça t’ennuie si je reste avec toi ? »

C’était une bonne occasion d’apprendre à faire connaissance. A la longue, c’est lassant de ne toujours voir que les mêmes têtes. Bien sur, elle était heureuse de voir ses amis mais la bande de décérébrés qui lui servait de cour, elle s’en serait bien passé…

On pouvait bien dire que Claire était une fille formidable, les personne qui parlait d'elle avait totalement raison elle était belle même plutôt magnifique, enfin Peter un gars totalement banal qui n'était pas aussi connue que les autre n'avait pas beaucoup de chance avec ce genre de fille, mieux fallait pour lui d'oublier. Bref Claire avait tout de même répondu a toute les choses que Peter lui avait dit et qu'elle avait ajouter par la suite si elle pouvait lui tenir compagnie

Bien sur avec joie que je veux bien que tu reste avec moi Au faite je me nome Peter, je sais que je ne suis pas aussi populaire que les autres personne que tu côtoie.

Elle avait tout de même demander a Peter ce qu'il avait fait pour se retrouver a nettoyer les lieux et cirée un parquet de salle sportive ou il mettait à peines les pieds dedans.

Disons que je me suis retrouvais a faire la femme de ménage en répondant a un prof.

Qu'elle prof une personne qui ne savait pas gérée un cours, qui parait a ses élèves comme de la merde, aucune discipline si elle aurait eu respect pour Peter, Peter aurait eu respect pour elle.

Enfin quand une personne te manque de respect je vois pas pourquoi toi tu devrais en avoir pour elle si tu vois ce que je veux dire.

Claire était une jeune femme très présente, le faite de savoir qu'elle était a coter de lui, lui procuré beaucoup il était un peut fier de parler avec une cherleeders il n'avait pas énormément l'occasion de fréquenter de gens aussi réputer qu'eux.

Au faite Claire, toi et tes copines vous devez vraiment avoir une choses importante pour que tout l e monde vous respecte comme tout le monde parle de vous dans les couloirs, et si je peux me le permette les mecs on vraiment raison quand il parle de toi, tu es sublime

Et oui Peter avait sortit le mots sur le coup ces petite joue se mit a rougir bah quoi tout le monde a le droit d'être genêt face à une personne.

Elle eut un petit sourire quand il lui dit son nom, elle ne s’était pas trompée. Bien sur, ça il ne le saurait jamais parce qu’elle se voyait mal lui dire « je le savais déjà » d’un air condescendant.

« Enchantée de faire ta connaissance Peter… Tu sais, la popularité, ça ne dure qu’un temps, surtout à l’université. »

Elle espérait qu’elle ne deviendrait pas comme sa mère, une pauvre femme cherchant à retrouver son ancienne gloire d’autrefois. Passer sa vie à regretter de ne plus être adulée par toute la fac, merci bien, elle n’était pas intéressée. Et bizarrement, elle ne voulait pas que Peter la voit juste comme la petite fille de riche qui est pompom girl et qui ne fera rien d’autre de productif dans sa vie.

« Tu as eu raison de répondre à ton prof… Encore un qui se croit supérieur et qui espère qu’on va boire ses paroles juste parce qu’il se prétend plus intelligents que nous ? C’était qui ? »

Claire allait en cours… Parfois… Quand elle estimait n’avoir rien de mieux à faire. Après tout, elle avait obtenu tous ses diplomes, personne ne pouvait la blamer. Et puis, son statu de capitaine des pompom avait des avantages non négligeables même si elle répugnait à s’en servir.

Elle ne put retenir un petit rire qui n’avait rien de moqueur quand il lui dit que ses copines et elle devaient avoir une chose importante.

« Non, pas vraiment… Enfin, si j’en crois Lucas, nos jambes y sont peut-être pour quelque chose… Et puis tu sais, il ne faut pas croire tout ce qui se raconte dans les couloirs. »

Elle ne savait que trop bien ce qui se disait dans les couloirs. Les garçons voulaient mettre les cheerleaders dans leur lit et les filles les détestaient. Après, il y’avait les groupies, celles qui étaient prête à tout pour qu’un peu de gloire leur retombe dessus. Quelle triste comédie que celle qu'on est obligé de jouer quand on a 20 ans...

« Merci « répondit-elle au compliment de Peter.

Elle rougit même un peu. En temps normal, les compliments ne lui faisaient pas beaucoup d’effet mais cette fois, elle avait envie de croire que ce n’était pas juste de la flatterie et qu’il était sincère.

Popularité vous l'avez sur et certain, mais contrairement au autre je vois les personnes totalement pareil vrai il y a des différence par moment, mes question de gloire je pense qu'il n'y pas se statut enfin a mes yeux, le faite d'être connue ne m'apporte peut on est tous pareil, et tu vois je suis bien contente d'être cataloguer d'élèves normal ou bien même d'intello par moment, je suis heureux de me dire que je suis pas comme les gens qu'on idolâtre et que ma vie ne se tourne pas cas cela ici, je suis bien content parce que les gens célèbres comme les basketteurs ou vous une fois que quelque choses ne vas pas les rumeur court vite à vos sujet et ce qui peut nuire a votre personnalité mensonge et toute les choses qui tourne autour.

Peter était bavard et en ce moment on pouvait même avoir l'impression qu'il connaissait Claire depuis pas mal de temps vue la façon qu'il avait de prendre parole si facilement avec elle. Il avait du mal a retenir son regard sur la beauté de Claire pourtant il devait éviter , il ne voulait pas qu'elle pense de lui qu'il était comme tout ce garçons qui baver sur les cherlleder loin de la, même si il devait avouer que la situation présente le genet un peut, Claire avait beaucoup 'effet et lui en apporter beaucoup. Il revenait sur le sujet des prof qu'il l'avait coller

Oh une vielle folle de prof de science je me fais pas de soucis pour elle, elle ne terminera sûrement pas l'année

Il eu un soupir avant de regarder les alentour du stade et les gradin, les jambes d'une cherleeders fessait beaucoup? bah pas pour lui enfin envers Claire son sourire et son regard jouait beaucoup il avait du mal a contrôler son regard lui aussi. Il jeta quelque coup d'oeil de temps en temps sur Claire et quand celle ci le regarda, il détourna aussi rapidement son regard et ces joue prenait une couleur rougeâtre.

Je doit avouer que je me sens un peux perturber en étant en ta compagnie je sais pas pourquoi je n'ai jamais cela envers une fille, ces nouveau pour moi

Hum peter qui avait un faible, une attirance énvers Claire trop tôt pour le dire met elle était déjà peut être bien la cette attirance.

Il avait parfaitement raison et elle était tout à fait d’accord avec lui. Certains diraient d’elle qu’elle était hypocrite de penser ça mais en fait, elle était juste réaliste. Quand elle pensait à ces filles qui rêvaient de prendre sa place, elle la leur aurait volontiers laissé, cependant quelque chose l’en empêchait. Après tout, elle avait quand même de bon ami dans cette espèce de micro-monde que les populaire se donnaient tan de mal à construire. Parfois, elle aurait voulu qu’il n’y ait pas ces barrières. Pourquoi on ne pourrait pas être à la fois populaire, intello et fan des échecs ? Qu’est-ce qui permettait de dire que telle ou telle activité valait mieux qu’une autre ? Sur quels critères se faisaient ces distinctions.

« C’est la loi de l’Université. C’est triste à dire mais je doute que toi ou moi on puisse y changer quelque chose… C’est pas si différent du lycée en fin de compte. »

Elle aurait pu certes, renoncer à son poste et se fondre dans la masse. Qu’est-ce que ça aurait changé ? Une autre aurait pris sa place. Les gens populaires avaient besoin de figures de tête qui prennent les décisions vraiment importantes. Pas tous, évidemment mais une grande partie.

« Faut déjà en tenir une bonne couche pour être prof de science… T’as pensé à la pousser dans les escaliers ? »

Elle plaisantait, bien sur. Tous les élèves avaient un jour ou l’autre voulu qu’un professeur se casse une jambe, histoire d’avoir un peu plus de liberté. Ça n’avait jamais fait de mal à personne et ça détendait.

Elle ne sut pas trop comment prendre sa dernière remarque mais elle reprit bien vite son sang froid. Au lieu de s’en aller, elle se rapprocha de lui, au contraire, elle lui montra sa main droite.

« Tu vois, ça c’est une main. Elle n’a rien de différent de toutes les autres mains que tu pourras voir dans ta vie. Et figure-toi, que je suis une fille cent pour cent comme toutes les autres. Y’a vraiment pas de quoi être perturbé. Tu verras, demain matin, tu te demanderas même comment t’as pu penser à un truc pareil. »

Elle s’étonna d’arriver à être si naturelle ave lui alors qu’elle le connaissait si peu. C’était agréable de ne plus porter son masque.

Alors que la soirée ne venait que débuter Peter aurait du sans doute avoir déjà du avoir fini la moitié du gymnase met il avait plutôt préféré tenir compagnie a la jolie demoiselle qui était assise seule sur les gradin et comment ne pas résister au charme qu'elle apporter rien quand étant présente ici. Peter avait écouter toute les paroles de Claire avant de rester surprit quand celle ci venait a s'approchait de lui et de tendre sa mains pour lui dire que sa main était comme toute les autre, il eu un petit sourire qui se dessina sur ces joues, avant de lever sa main droite et de prendre la mains de Claire dans la sienne.

Je sais que ta mains et comme toute les autres, tu n'es pas différente a mes yeux vue que tu es cherleeders Claire Petrelli.

Il tenait toujours la main de Claire dans la sienne avant de venir la poser sur son tors pour lui faire écouter les battement de son coeur

Écoute le tu vois par toit même que mon coeur et pareil que tout les autres que tu as put toucher et resentir leur bâtiment qui les comme le tien, je suis juste perturber d'être avec une fille aussi belle que toi et que le contacte qu'on s'échange depuis tout a l'heure marche bien, je découvre une jeune femme superbe pour qui j'ai de l'admiration par pour son jeux de supportrice, mais pour celle avec qui je discute depuis un petit moment a présent.

Il regarda Claire dans les yeux pendants un moment avant de venir libéré sa mains de la sienne et de la regardait toujours avec ce même regard celui d'une personne sincère et naturel. Quand les bruit du vieux grincheux de concierge ce laisser entendre Peter détourna son regard de celui de Claire vers la porte du gymnase

Mince pas lui

Il se leva précipitamment avant de tendre sa mains a Claire

Tu me suis?

C’était agréable d’être avec quelqu’un pour qui elle n’était pas seulement la capitaine de cheerleaders mais une personne à part entière. Cela faisait du bien d’avoir l’impression de n’être qu’une parmi tan d’autre… Une anonyme au cœur de la foule.
Elle ne fit aucun mouvement de recul quand il lui saisit la main, allant même jusqu’à apprécier le contact.

« Heureusement… Surtout que je ne suis pas que ça. Mais y’a pas grand monde qui s’en rend compte » dit-elle avec un petit sourire.

Cela lui fit tout bizarre quand Peter mis sa main sur son cœur mais une nouvelle fois, elle le laissa faire sans chercher à se dégager de sa prise. Elle l’écouta parler comme s’il était sur le point de lui révéler une vérité existentielle. Les battements du cœur de Peter firent que les siens s’accélèrent aussi mais elle n’y prêta pas attention, mettant cela sur le coté étrange de la situation.

« Je suis pas aussi jolie que ça » le détrompa-t-elle. « Une fois que t’enlève le maquillage et le brushing, il reste plus grand-chose. Mais je suis d’accord sur le fait que le courant passe bien entre nous. Je suis bien contente d’être restée un peu plus longtemps… Tu vois, finalement, c’était bien toi que j’attendais. »

Claire n’était pas du genre à mettre une tonne de maquillage et finir par ressembler à un tableau de Picasso mais malgré sa relative popularité, elle manquait de confiance en elle, ce qu’elle n’aurait jamais avoué à personne. Elle avait une réputation à tenir, même si parfois c’était un peu lourd à porter...

Elle se détourna de Peter en entendant du bruit et fut surprise de la voir se lever aussi vite. Qu’avait-il en tête ? Bien sur, lui était censé être en train de faire le ménage dans le gymnase et ce bon vieux concierge risquait de mal le prendre en voyant que cela n’était pas fait. En plus s’il partait, il avait une chance de voir sa corvée être rallonger… Elle aurait très bien pu rester là et attendre, elle aurait trouvé une bonne excuse pour justifier sa présence ici mais…
Elle attrapa son sac qui était à ses pieds et le mit en bandoulière pour ne pas qu’il la genre avant de prendre la main de Peter.

« Je te suis… Où est-ce qu’on va ? »

Les bruits du concierge se rapprochaient de plus en plus, ils allaient devoir courir s’ils voulaient avant quitté le gymnase avant que ce dernier n’y entre.

Alors que le début de soirée sembler être des plus parfait pour le jeune Peter en compagnie d'une fille aussi belle que Claire, le temps avait toujours une fin malheureusement. Quand les bruit du concierge se fut entendre d plus en plus Peter agrippa la taille de Claire pour la soulever affin de la faire descendre de tout les gradins et une foi poser sur le sol du gymnase, il lui prit la main et se mit a courir en compagnie de Claire vers une porte du gymnase, il prit les clef dans sa poche pour ouvrir la serrure avant de poser sa main sur la porte, le porte principal du gymnase se laisser ouvrir par le concierge. Peter eu tout juste le temps de l'ouvrir et de la refermer derrière elle que le concierge fut entré dans la salle, on pouvait l'entendre criée dans tout le gymnase qui a vrai dire raisonné énormément. Peter se tourna alors vers Claire qui avait été silencieuse depuis un moment.

Je risque gros mes tu risquais beaucoup si on t''aurais trouvé dans le gymnase a cette heure ci et je préfère que tu n'es pas de problème que de te voir nettoyer les lieux.

La pièce était assez étroite Peter et Claire n'avait pas beaucoup de place entre les tapis pour les cours de fitness, les barre parallèle et tout le bric a brac qui se trouvait dedans

Revenons a notre discutions, je suis sur que sans maquillage tu doit être sublime aussi, tu sais il m'en faut peut pour trouver une fille super belle et même sans maquillage la seul beauté que je pourrais voir a travers toi ses ton regard, ton sourire et puis ta façon d'être avec moi le reste m'importe peux Claire.

Peter lui accorda un petit sourire avant de placer son oreille contre la porte pour écouter si le concierge était encore dans les parages et vue les grognement il en était encore la pour un moment.

Elle poussa un petit cri quand il la souleva et s’accrocha à lui par reflexe de peur de tomber. Heureusement qu’il portait un haut, sinon il aurait sentit les ongles de Claire s’enfoncer dans sa peau. Ce n’est pas qu’elle ne lui faisait pas confiance mais sur le coup de la surprise, elle s’était crispée, transformant ses mains en griffes de rapace.

Elle fut assez contente de retrouver la terre ferme et le suivit jusqu’à cet espèce de cagibi qui servait de fourre-tout pour les accessoires de sport. Elle avait envie de rire mais elle se mordit la lèvre. La cloison n’était pas très épaisse et si elle était partie dans son fou rire, l’espèce se cerbère du gymnase leur tomberait dessus comme un chat sur des souris.

« C’est gentil de ta part. Mais ça aurait pu être marrant de devoir nettoyer le gymnase avec toi… Quoi que, j’aurais sans doute passé plus de temps à vouloir parler qu’à nettoyer et on y aurait passé beaucoup de temps. »

Elle était d’un naturel plutôt bavard et elle se doutait bien que si elle se retrouvait avec lui, obligé de faire des taches ménagères, elle serait en train de s’arrêter toutes les cinq minutes pour lui parler et résultat, rien n’avancerait. Si c’était comme ça, il leur faudrait un mois pour nettoyer la salle en entier… Et encore, en étant optimiste.

Elle était de plus en plus embarrassée par ce qu’il disait d’elle. C’était comme s’il pouvait voir au-delà de cette image qu’elle avait eu tan de mal à construire.

« Qui sait, t’auras peut-être l’occasion de le savoir un jour. » dit-elle avec un clin d’œil. « Peut-être que je suis différente avec toi, je ne sais pas pourquoi. T’as l’air si gentil que j’arrive à être naturelle… »

Elle lui rendit son sourire et s’assit sur une pille de tapis, quitte à être là pour un moment, autant se mettre à l’aise. Elle espérait juste que le concierge ne s’amuse pas à le chercher dans cette pièce, bien qu’avec tout ce qu’il y avait dedans, ça ne serait pas trop difficile de s’y cacher…

Peter était toujours coller contre la porte l'oreille a l'écoute du concierge et l'autre a l'écoute de Claire, elle lui disait pleine de chose qui fessait plaisir a entendre et elle avait bien raison de prendre place sur un tapis de gym et Peter la suivi il venait s'installer au coter de Claire laissant son corps sans aller an arrière pour se coucher et regarder le plafond. Durant un petit moment Peter ne parlait plus il écoutait le silence et la porte de la pièce venait a s'ouvrir Peter se redressa venant se coller a Claire

Chut Claire le silence le fera sûrement partie

La poignée venait a s'ouvrir que la lumière du gymnase put se laisser pénétré doucement, Peter avait son regard poser sur l'entrer quand la porte venait de se refermer doucement. Pour leur peine le verrou se fit entendre Peter regarda Claire quand toute les lumière du gymnase fut éteindre, il se leva pour aller ouvrir la porte et cherchant sa clef dans sa poche malheureusement il avait carrément oublier que la clef était rester sur la porte quand il l'avait ouvert.

Heu! Claire

Il se tourna doucement vers elle le regard inquiet

J'espère que tu trouve que les tapis son confortable, on vas devoir passer la nuit ici ensemble.

Il avait se petit air dessus la pauvre elle allait avoir froid, Peter enleva sa longue veste avant de s'approchait de Claire et de s'asseoir prêt d'elle

Tien prend ma veste je veux pas que tu es froid de ma faute

Il lui mit la veste autour de ses épaules avant de regardait les alentours

J'espère que tu ne m'en veux pas de t'avoir mit dans une situation pareil
[je trouvais sa marrant de les coincer tout les deux dans le gymnase]

Claire restait silencieuse, il avait raison, moins ils ferraient de bruit, moins ils risquaient d’attirer l’attention sur eux. Du haut de sa pile de tapis, ses pieds ne touchaient pas le sol, ses jambes se balançaient dans le vide. Elle essaya de distinguer quelques éléments de la pièce mais c’était assez obscur et même une fois que ses yeux se furent habitués à l’obscurité, elle ne voyait que de vague forme. Heureusement le concierge finit par s’en aller et elle se leva prête à quitter cette pièce mais Peter l’interpella avec une drôle de tête. Elle s’imagina de suite le pire.

*C’est un tueur psychopathe… N’importe quoi, je me demande ou tu vas chercher des trucs pareils !*

« Qu’est-ce qui se passe ? »

Il se mit à parler des tapis et sur le coup, elle crut qu’il disait ça pour plaisanter puis elle se souvient d’un petit bruit qui était venu de la porte… Ce n’est pas vrai ! Et comment ils allaient sortir de là dedans ? Elle était d’un naturel plutôt calme et elle réussit à prendre la chose plutôt bien.
Elle enleva la verste de Peter de ses épaules et la posa à coté d’elle, pour le moment, elle n’avait pas froid mais cette pièce n’était pas chauffée et même à Miami, la température baissait durant la nuit. Tôt ou tard, elle en aurait surement besoin. Mais elle ne voulait pas qu’il ait froid aussi, ils n’auraient qu’à se tenir proche pour partager la chaleur que procurerait la veste.

« Merci mais on la partagera, va pas tomber malade, ça serait dommage. »

Il avait l’air tellement gêné de l’avoir mise dans cette situation qu’elle ne réussit pas à lui en vouloir. Elle essayer de prendre ça avec humour, ce n’est pas tous les jours qu’elle pourrait faire ça. Certains couples devaient faire des pieds et des mains pour se faire enfermer dans le lycée, eux y étaient arrivés sans le faire exprès.

« Non, ce n’est pas grave… Ce n’est pas ta faute. Et puis j’aime bien cette situation, ça met un peu d’action… Tu vas juste devoir me supporter toute la nuit. »

Il y’avait pire, ils auraient pu se faire enfermer dans un endroit plus désagréable, là au moins, les matelas leur permettaient d’espère ne pas avoir trop de courbature le lendemain.

Devoir la supporter toute la nuit était sans doute la plus belle choses que Peter pouvait avoir depuis qu'il était de corvée dans l'université, bref il ne répondit pas au paroles de Claire il avait la tête ailleurs surtout quand il se mit a la remué de gauche a droite, on aurait put croire un fou de service mais il cherchait plutôt quelque petite affaire. Il venait a présent de se lever pour commencer a marcher dans la pénombre de la pièce, seul une minuscule petite fenêtre laisser de la lumière apparaître dans le petit local. Peter sembler savoir ce qu'il fessait il marchait toujours dans la même direction avant de se prendre une barre dans la jambes

Aie!! quel con Peter

Il s'abaissa un petit moment pour frotter sa jambes avant de se rentre a marcher et de trouver ce qu'il cherchait, de gros sac qui contenait de petite bille dedans cela était assez confortable pour en aire un coussin pour la nuit, il reprit chemin inverse avant de retrouvait la ravissante Claire qui était toujours assise sur les tapis de gym.

Tien nos tête seront mieux mise la dessus

Il se rassis doucement sur le tapi avant de se coucher sur le sac et de regarder le plafond

Tu sais Claire cette nuit si tu as vraiment froid car tu vas voir malgré le temps qu'on partage le local ici et très glacial durant la nuit, le lendemain on se croirait dans un frigo enfin bref blottit toi contre moi la chaleur de nos deux corps nous réchaufferons.

Claire n'avait pas mit la veste de Peter tout de suite elle avait bien raison mieux fallait qu'elle l'utilise au bon moment

Et surtout ne t'inquiète pas pour moi avec ma veste je suis un homme et je peux survivre sans garde la pour toi.

Même si elle ne le voyait pas clairement, elle pouvait distinguer sa silhouette qui se déplaçait. Elle se demandait ce qu’il pouvait bien être en train de faire. A cause de la visibilité plus que réduite, elle préférait de loin rester sur ses tapis. C’était moins risqué… La preuve, Peter venait de se faire mal.

« Est-ce que ça va ? » s’inquiéta-t-elle. « Tu t’es fait mal où ? »

Elle espéra qu’il ne s’était pas fait gravement mal sinon ils étaient très mal. Elle n’avait aucune connaissance médicales, à peine si elle était capable de faire un massage cardiaque d’urgence. Heureusement, il se remit à chercher alors elle en conclu qu’il avait du juste se cogner à un des multiples objets qui jonchaient la salle.
Il avait eu une bonne idée avec le sac, elle le sentit se coucher et l’écouta parler, pour le moment, elle restait assise, elle se sentait mieux comme ça.

« Oué, je sais… ça serait dommage de mourir de froid, surtout ici… »

Il n’y avait rien de mieux que la chaleur humaine pour rester au chaud mais bizarrement, Claire se était intimidée à cette idée… Ce n’était pourtant pas la première fois qu’elle allait dormir à coté d’un homme mais cette fois c’était… Différent. La situation, le lieu et Peter.

« Si on est blottit l’un contre l’autre, ta veste pourra nous couvrir tous les deux… »

Et elle comptait bien se blottir contre lui, elle n’aimait pas avoir froid. Elle n’était pas venue de New-York jusqu’en Floride pour se geler dans une petite salle annexe du Gymnase de l’université.

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